Philosophie, histoire, littérature

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Steiner, Rudolf
Prix de vente réduit :
Prix ​​de vente38,00 €
Remise
Prix / Kg:
ISBN : 2-88189-229-9
Nbre de pages :
356
N° de GA
51
Traduction :
Villete, Claudine
Reliure :
Relié
Format :
14 x 21
Communication :
Conférences
Édition année :
2010
Auteur(s) :
Steiner, Rudolf
Langue originale :
Allemand

 

 

CONFÉRENCES DONNÉES A L’ÉCOLE DE FORMATION DES OUVRIERS DE BERLIN : VISIONS DU MONDE ET DE LA VIE DES TEMPS ANTIQUES A L’ÉPQQUE ACTUELLE _ 1. Les visions du monde dans Le Grèce antique _ 2. Les visions du monde du Moyen Âge et des Temps modernes _ 3. Les nouvelles visions du monde

 

WILLIAM SHAKESPEARE (notes) Berlin, 6 mai 1902
La question de la paternité des oeuvres de Shakespeare. Les drames de Shakespeare, présentation de caractères. Les oeuvres du Moyen Age, y compris celles de Goethe, expression des idées chrétiennes. Le développement de la personnalité individuelle à la Renaissance. Biographie de Shakespeare. La réception passée et actuelle des drames shakespeariens et de leurs personnages dont la caractérisation est restée jusqu’à ce jour inégalée.

 
 

À PROPOS DE L’HISTOIRE ROMAINE : Berlin, 19 juillet 1904Avant-dernière d’une série de 10 conférences sur le thème : « L’histoire des peuples premiers et de l’Antiquité jusqu’au déclin de la domination romaine ». L’évolution de l’État romain. La charge de Pontifex maximus et le pape. Opposition entre l’État de droit romain et la puissance impériale dans les provinces. Naissance du fonctionnariat et du droit romain, dogmatique et abstrait. Le nouveau sentiment religieux, tourné vers les réalités terrestres, sous l’impulsion de Constantin. L’imprégnation de l’Église par le droit romain dogmatique. Le concile de Nicée. Christianisme arien et christianisme athanasien. La disparition de l’Empire romain provoquée par les Germains. Le principe romain du pouvoir dans l’Église. Empereur et pape. Le monachisme, réaction au principe de pouvoir ecclésiastique. L’essence du christianisme, gardien de la liberté et de la dignité de l’être humain.

HISTOIRE DU MOYEN ÂGE JUSQU’AUX GRANDES INVENTIONS ET AUX GRANDES DÉCOUVERTES

Préface de Marie Steiner à la 1 édition de 1936
PREMIÈRE CONFÉRENCE 18 octobre 1904
Le Moyen Age, période importante de l’histoire, depuis les Grandes Invasions jusqu’à l’invention de l’imprimerie. La description des Germains par Tacite. Art grec, droit romain, et expérience germanique de la personnalité. Les traits généraux du caractère germanique. Le droit du plus fort et le combat pour la personnalité libre. L’origine de la culture urbaine. Palack et le sens du tragique chez les Germains. Wyclif Henri le Saint, les Communautés fraternelles. La lutte pour l’accès à la conscience de la liberté.
DEUXIÈME CONFÉRENCE 25 octobre 1904 Les vagues d’arrivée successives et la redistribution géographique des tribus germaniques en Europe du Centre de l’an i à l’an 600. Parenté des tribus indogermaniques. Tuisto et Mannus. Un lieu de culte consacré à Ulysse au bord du Rhin. Les représentations mythiques communes. Ases et Asuras. Le courant germanique du sud et celui du nord. Germains et Grecs. Les Grandes Invasions. Les Goths. Christianisme arien et christianisme athanasien. La sédentarisation à partir du 6e siècle. Passage de la communauté tribale à la communauté villageoise. Naissance de la propriété privée.
TROISIÈME CONFERENCE 1er novembre 1904
Le déplacement des peuples au 5e siècle. Retour sur les trois premiers siècles. Avancée des tribus germaniques vers l’empire romain par suite des attaques des Huns en 375. Ostrogoths et Wisigoths. Les Vandales. Naissance et consolidation du royaume franc à partir de la grande propriété foncière. Sa pénétration par le christianisme ko-écossais. Le rejet de la dépendance de Rome. Aristote, Platon, Scot Erigène. La Chanson de Waither. Fin de la domination des Huns après la mort d’Attila en 453. La perturbation progressive du rapport entre le christianisme véritable et son instrumentalisation politique par les rois francs. La naissance des villes libres.
QUATRIÈME CONFÉRENCES novembre 1904
Bond dans l’évolution au Moyen Age dû aux fondations de villes, aux inventions et aux découvertes. Le pouvoir du peuple franc et le christianisme, deux facteurs déterminants de l’évolution. Le royaume mérovingien. La propriété foncière, principe de pouvoir et force structurante du royaume, liée au droit de justice etc. Développement concomitant d’une noblesse d’office, rivale du roi. Opposition de l’Église, propriétaire foncier, et du christianisme libre des missionnaires irlandais et anglais, Colomban, Gall, Boniface. Église sécularisée et royaume des Francs s’appuiant sur le pape. Afflux dans la culture européenne de sciences appliquées au monde extérieur, par l’intermédiaire des Arabes. La culture urbaine. Walther von der Vogelweide.

 

CINQUIÈME CONFÉRENCE 15 novembre 1904
Les Germains après les Grandes Invasions. La communauté villageoise. Propriété communautaire et propriété privée. Naissance de la royauté à partir de la (grande) propriété foncière. Passage des Mérovingiens aux Carolingiens. Conquêtes de Charlemagne. Le rôle de l’Église en tant que grand propriétaire foncier. Soumission de la Bavière et des Lombards. Les comtes du pagus (Gaugrafen) et les comtes palatins, juges laïcs. Opposition de la noblesse et des paysans (hommes libres et serfs). Les monastères, uniques centres de la culture. Scolastique et mystique. Opposition des monastères et de l’Église sécularisée. Scot Erigène. La fondation des villes, réaction à l’oppression exercée par la noblesse et l’Église sécularisée.
SIXIÈME CONFÉRENCE 6 décembre 1904
Les peuples germaniques après les Grandes Invasions. La grande propriété foncière, structure organisatrice du royaume de Charlemagne. Guerres et querelles, confrontations de droit privé. La masse illettrée du peuple et l’attitude éthique et religieuse du clergé. Les trois sciences inférieures du Moyen Age : grammaire, logique, dialectique. Les quatre sciences supérieures géométrie, arithmétique, astronomie et musique. Opposition du pouvoir à l’ouest (France) et à l’est (Europe du Centre). Attaques des Huns et Arnulf de Carinthie. Naissance de l’opposition entre pouvoir temporel et ecclésiastique en Europe du Centre. Les villes libres.
SEPTIÈME CONFÉRENCE 13 décembre 1904
Différence entre le royaume des Ostrogoths et le royaume des Wisigoths : royauté absolue, guerre entre les rois et les ducs rebelles. Attaques des Magyars. L’empereur s’appuie sur une Église de plus en plus politisée. Élimination de la classe des paysans libres. Débuts du commerce et de l’artisanat Victoire sur les Magyars, leur sédentarisation et leur christianisation. Le rapport du peuple à l’Église. L’influence des Arabes. Le culte marial. Atmosphère de fm du monde vers l’an mil. Le mouvement de réforme des Clunisiens. Le droit du plus fort Pape et empereur, tels le soleil et la lune. Le déploiement de la puissance de l’Église. Canossa. Regard sur les croisades à venir et les influences qu’elles exerceront

 

HUITIÈME CONFÉRENCE 20 décembre 1904
Naissance du « royaume ». Disparition de la paysannerie libre. La classe des chevaliers. Clergé séculier et clergé lettré des monastères. L’effondrement du niveau de vie. Le caractère profondément religieux de l’époque. Les croisades et leurs conséquences. L’arrivée de la science maure. Science médiévale, réalisme et nominalisme. Liberté de l’enseignement. Albert le Grand. L’inquisition. Konrad de Marburg. Opposition villecampagne. La culture urbaine. Les premières universités en Allemagne. La mystique d’Eckhart, Tauler, Suso. Traductions de la Bible jusqu’à Luther. La fondation d’États plus grands entraînant la perte de la liberté dans les universités. Commentaire de Hegel sur l’histoire.
NEUVIÈME CONFÉRENCE 28 décembre 1904
Démocratisation des villes. Les corporations. Politique des villes envers les princes et les chevaliers brigands. Fondation d’une culture urbaine matérialiste. Les ligues de villes. Vineta. La Hanse. Invention de la poudre à canon. Les Frères de la Vie commune. Cathares et Vaudois. La mystique. Gothique et construction des villes. Les danses macabres. Bains et hôpitaux. Les vagabonds. La position des juifs. Les hérésies, causes des croisades. Godefroy de Bouillon. La naissance du parti gibelin. Frédéric Barberousse et la légende du Kyffhàuser. Les ordres monastiques. L’Ordre du Temple. L’Ordre des Chevaliers teutoniques. Naissance de l’empire des Habsbourg.
DIXIÈME CONFÉRENCE 29 décembre 1904
La disparition de la puissance impériale. La formation de l’État moderne à la fin du Moyen Age. La puissance de la Maison des Habsbourg. La Confédération helvétique. Le pape et la France contre la puissance des princes allemands. Oppression des paysans. Les courants hérétiques. Jan Hus et le concile de Constance. Les Frères de la Vie commune. Les ateliers de copistes, forme préliminaire des ateliers d’imprimeurs. Les confédérations paysannes. Déplacement de la culture vers les villes. Attaque des Turcs en Grèce. La Renaissance et l’humanisme. Reuehlin et Érasme. La conquête des routes maritimes vers les Indes par Diaz et Vasco de Gama. Découverte de l’Amérique. La vision du monde de Copernic. Nécessité d’une science de l’histoire universelle.

 

- II – CONFÉRENCES À LA FREIE HOCHSCHULE (UNIVERSITÉ POPULAIRE) DE BERLIN MYSTIQUE PLATONICIENNE ET DOCTE IGNORANCE

 

Bref résumé de trois conférences d’un cours qui en comportait sept sur « La mystique allemande et ses fondements ».

 

PREMIÈRE CONFÉRENCE 29 octobre 1904
« Mathesis », la connaissance mystique du monde chez les Gnostiques. L’évolution des représentations mystiques de Denys l’Aréopagite jusqu’à Maître Eckhart. La façon de penser du mystique.
DEUXIÈME CONFÉRENCE 5 novembre 1904 _ L’influence du platonisme sur la mystique médiévale. L’expérience de l’esprit faite par le mystique l’immersion au sein de l’âme. La catharsis du mystique ; l’émergence du principe christique.
TROISIÈME CONFÉRENCE 12 novembre 1904 _ Vie et personnalité de Nicolas de Cues. Son œuvre : Docta gnorantia. Trois degrés de la connaissance chez Nicolas de Cues : le savoir, la félicité ou le savoir supérieur, la déification. Les degrés correspondants chez les Pythagoriciens et dans la philosophie du Vedânta. Précurseurs du Cusain.

 

SCHILLER ET NOTRE TEMPS
Preface de Rudolf Steiner à la première édition de 1905 Quelques mots au lecteur
PREMIÈRE CONFÉRENCE 21 janvier 1905
Schiller, sa vie et son originalité
DEUXIÈME CONFÉRENCE 28 janvier 1905
L’ouvre de Schiller et ses métamorphoses
TROISIÈME CONFÉRENCE 4 février 1905
Schiller et Goethe
QUATRIÈME CONFÉRENCE 11 février 1905
Schiller, sa vision du monde et son Wallenstein
CINQUIÈME CONFÉRENCE 18février 1905
Schiller, le drame grec et Nietzsche
SIXIÈME CONFÉRENCE 25 février 1905
Schiller, les derniers drames
SEPTIÈME CONFÉRENCE 4 mars 1905
Réception de Schiller an 19 siècle
HUITIÈME CONFÉRENCE 5mars 1905
Que peut apprendre de Schiller là l’époque actuelle ?
NEUVIÈME CONFÉRENCE 25mars 1905
Schiller et l’idéalisme (Esthétique et morale)

III – APPENDICE
Débats et conférences de Rudolf Steiner au Giordano Bruno-Bund für eine einheitliche Weltanschauung (Ligue Giordano Bruno pour une vision unitaire du monde), Berlin 1902

 

L’UNITÉ DU MONDE Berlin, mars 1902
Débat à la Ligue Giordano Bruno pour une vision unitaire du monde, avec intervention de Rudolf Steiner sur la question : « Que signifie ’vision unitaire du monde’ Quels sont le contenu et la valeur de ce concept ? » Relatée dans le journal Der Freidenker (Le Libre-penseur), 10e année, n°8 et n°9 des 15 avril et let mai 1902

VÉRITÉ ET SCIENCE Berlin, 7 mai 1902
Débat organisé par la Ligue Giordano Bruno, avec une introduction de Rudolf Steiner « Quel type de tribune est habilité à valider une vision unitaire du monde ? » - Essai de réponse à la question du rapport de la science à la vérité, suivi d’une discussion. Relaté dans le journal Der Freidenker (Le Libre-penseur), 10e année, n° 15 et n° 16 des let et 15 août 1902
MONISME ET THÉOSOPHIE : Berlin, 8 octobre 1902
Conférence de Rudolf Steiner à la Ligue Giordano Bruno Berlin, 15 octobre 1902
Débat avec interventions de Rudolf Steiner
Compte-rendu dans le journal Der Freidenker (Le Libre-penseur 10e année, n° 21 du 1 novembre 1902.

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